Alors que l'&eacute;levage souffre d'une crise majeure, le co&ucirc;t de ces PCR se chiffre en millions d'euros au regard de ce qui est exp&eacute;di&eacute; chaque ann&eacute;e vers la p&eacute;ninsule Ib&eacute;rique. L'activit&eacute; export est indispensable au march&eacute; fran&ccedil;ais pour trouver un &eacute;quilibre. Aujourd'hui ce sont plus de 16 000 veaux qui sont en attente dans les fermes. Il n'est plus question de prix, car les &eacute;leveurs ne veulent pas garder ces animaux alors qu'ils sont d&eacute;j&agrave; d&eacute;ficitaires en fourrage.De leurs c&ocirc;t&eacute;s, les int&eacute;grateurs maintiennent leur ligne de conduite avec une ma&icirc;trise des mises en place. Face &agrave; l'absence de la concurrence espagnole, les transactions sont tr&egrave;s difficiles avec des tarifs malmen&eacute;s. La situation va &ecirc;tre d&eacute;sastreuse dans les prochaines semaines, notamment si la situation perdure. Les &eacute;leveurs vont devoir &eacute;lever des veaux.La situation est identique dans les broutards et les femelles non-vaccin&eacute;s, m&ecirc;me si ces gammes de marchandise peuvent plus facilement attendre dans les fermes. Aucun mouvement vers l'Espagne o&ugrave; de plus en plus d'op&eacute;rateurs refusent les animaux non-vaccin&eacute;s en provenance des zones les plus touch&eacute;es par la recrudescence de la FCO 8. Les exportateurs demande une vaccination massive du cheptel fran&ccedil;ais pour sortir ce cette impasse et pour pouvoir retrouver des clients perdus &agrave; l'export.


Le mouvement de blocage des exportations opéré la semaine passée par l’ensemble des acteurs de la filière qui travaille pour le marché espagnol est suivi et a été reconduit pour cette semaine, dans l’attente de négociations avec les syndicats d’éleveurs pour trouver une solution à la gestion de la FCO et aux frais importants générés par les PCR.


Grève de la collecte des veaux : pas d’équilibre sans marché espagnol

&laquo;&nbsp;Dans le cadre de la strat&eacute;gie de la marque de s'adresser &agrave; une toute nouvelle audience et de d&eacute;velopper ses propres &eacute;v&egrave;nements, Massey Ferguson continuera de disposer d'une pr&eacute;sence, parfois limit&eacute;e &ndash; mais en totale rupture &ndash; &agrave; l'occasion des salons&nbsp;&raquo;. Telle est l'annonce faite par le constructeur (groupe Agco) &agrave; la veille de l'ouverture de l'Eima (7-11 novembre), l'un des salons europ&eacute;ens majeurs avec l'Agritechnica et EuroTier (Hanovre), le Sima (Paris) ou encore la Fima Agricola de Saragosse (Espagne) et l'Agribex (Bruxelles), autant d'&eacute;v&egrave;nements bisannuels.<h2>Deux tracteurs</h2>A l'Eima, sur un stand plus petit qu'&agrave; l'accoutum&eacute;e, Massey Ferguson exposera toutes ses nouvelles technologies mais seulement... deux tracteurs. &laquo;&nbsp;Apr&egrave;s l'Eima, nous appliquerons &eacute;galement une nouvelle approche &agrave; l'occasion du Sima 2019 et d'Agritechnica 2019, o&ugrave; nous proposerons, &agrave; nos visiteurs, une exp&eacute;rience plus cibl&eacute;e et personnalis&eacute;e avec la marque&nbsp;&raquo;, explique Francesco Quaranta, Vice-Pr&eacute;sident Ventes, Marketing &amp; Product Management Europe &amp; Middle East.&nbsp;&laquo;&nbsp;La participation syst&eacute;matique aux &eacute;v&egrave;nements traditionnels de notre secteur, ainsi que le caract&egrave;re soi-disant automatique de leurs visitorats, ne sont plus viables sur le long terme&nbsp;&raquo;, d&eacute;clare Francesco Quaranta, Vice-Pr&eacute;sident Ventes, Marketing &amp; Product Management Europe &amp; Middle East. &laquo;&nbsp;Tous deux ne r&eacute;pondent pas, ou trop partiellement, aux besoins des professionnels agricoles &agrave; l'heure de prendre leur d&eacute;cision pour leur prochain investissement. Les agriculteurs doivent pouvoir essayer et tester nos machines, en faire leur propre exp&eacute;rience afin de d&eacute;terminer que celles-ci repr&eacute;sentent le meilleur choix pour les besoins de leur activit&eacute;. Cela signifie que nous devons personnaliser nos communications afin de compl&eacute;ter nos messages, le moment o&ugrave; nous communiquons et la nature des technologies que nous pr&eacute;sentons et la mani&egrave;re dont elles r&eacute;pondent &agrave; chaque besoin des agriculteurs&nbsp;&raquo;.<h2>Inflation de m2 et d'euros</h2>Le constructeur entend ainsi rester maitre du temps, des lieux, des surfaces, du ciblage et du concept int&eacute;rieur / ext&eacute;rieur, sans oublier le budget. Cette red&eacute;finition va passer chez Massey Ferguson par l'organisation, &agrave; compter du printemps prochain, de l'eXperience Tour 2019, un road show europ&eacute;en, o&ugrave; &laquo;&nbsp;nos invit&eacute;s auront la possibilit&eacute; de vivre leur propre exp&eacute;rience avec notre gamme longue de produits et d'en savoir plus sur notre offre de services permettant d'accompagner la croissance de leur exploitation&nbsp;&raquo;. Le d&eacute;sinvestissement d'un des leaders mondiaux de l'agro&eacute;quipement est-elle le signe d'un d&eacute;but d'obsolescence des grands salons internationaux d&eacute;di&eacute;s au machinisme&nbsp;? Il est sans doute un peu trop t&ocirc;t pour l'affirmer mais l'initiative de Massey Ferguson, qui sonne peut-&ecirc;tre la fin des stands hors normes et hors de prix, pourrait faire des &eacute;mules chez les concurrents, opportun&eacute;ment d&eacute;complex&eacute;s.<h2>Obsolescence programm&eacute;e ?</h2>Il sera &eacute;galement int&eacute;ressant d'observer la strat&eacute;gie des autres marques du groupe Agco, &agrave; savoir Fendt, Valtra, Laverda, Fella, GSI... Si elle est d&eacute;tonante, la d&eacute;marche de Massey Ferguson n'est pas totalement in&eacute;dite. En septembre dernier, Gr&eacute;goire-Besson avait annonc&eacute; renoncer au Sima 2019 (24-28 f&eacute;vrier), mais pas &agrave; Agritechnica, avec des arguments tr&egrave;s similaires &agrave; ceux de Massey Ferguson. &laquo;&nbsp;L'&eacute;volution des pratiques commerciales nous conduit a&#768; nous renouveler dans l'approche client. Privile&#769;gier des relations base&#769;es sur l'e&#769;coute et l'e&#769;change reste un des piliers de notre approche strate&#769;gique, nous souhaitons simplement la rendre encore plus productive et qualitative&nbsp;&raquo;, expliquait le PDG Patrick Besson. Cette d&eacute;saffection pour les salons n'est pas propre &agrave; l'agriculture. En octobre dernier, au Mondial de l'auto &agrave; Paris, Fiat, Ford, Nissan, Volkswagen ou encore Volvo avait boud&eacute; l'&eacute;v&eacute;nement. Les salons automobiles de Francfort, de Gen&egrave;ve ou encore de D&eacute;troit subissent le m&ecirc;me sort, victimes d'arbitrages financiers de la part des firmes et/ou d'obsolescence, &agrave; l'heure de la toute-puissance num&eacute;rique doubl&eacute;e, en agriculture, de la baisse inexorable du nombre d'agriculteurs, toujours mieux identifi&eacute;s. De l'auto au tracteur, il n'y a qu'un marchepied....


A la veille de l’ouverture de l’Eima à Bologne (Italie), Massey Ferguson annonce revoir sa stratégie en matière de salon. Un désengagement est annoncé en faveur d’évènements ciblés et personnalisés, tel le Massey Ferguson eXperience Tour 2019.


Les salons machinisme à l’aube de la décroissance ?

<blockquote class="twitter-tweet" data-lang="fr">TADAAA ! On vous pr&eacute;sente Imminence, la nouvelle vache &eacute;g&eacute;rie du Salon International de l'Agriculture. D&eacute;j&agrave; tout d'une vedette, elle se pavane sous l'&oelig;il de nos cam&eacute;ras. Vous viendrez la voir lors du <a href="https://twitter.com/hashtag/SIA2019?src=hash&amp;ref_src=twsrc%5Etfw">#SIA2019</a> ? &Ccedil;a tombe bien la billetterie est ouverte : <a href="https://t.co/BZyFZp6D0f">https://t.co/BZyFZp6D0f</a> <a href="https://t.co/1qpQla3E6x">pic.twitter.com/1qpQla3E6x</a>&mdash; Salon Agriculture (@Salondelagri) <a href="https://twitter.com/Salondelagri/status/1059436134416244736?ref_src=twsrc%5Etfw">5 novembre 2018</a></blockquote> <script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>


Pour l’édition 2019 du salon international de l’agriculture, les organisateurs ont choisi comme égérie un vache à faible effectif, la race Bleue du Nord. 


Salon de l’agriculture : l’égérie 2019 est une Bleue du Nord


Tel était le thème de l’intervention de Dorine Bourneton, première femme handicapée pilote de voltige au monde, marraine de la 10ème édition du VITI VINI.A travers cette personnalité d’exception, le Crédit Agricole du Nord Est et le Club des Entrepreneurs Champenois ont souhaité mettre en avant l’importance de valeurs comme la persévérance, la recherche de l’excellence et le travail collectif, critères indétrônables de succès.


Dorine Bourneton, marraine de la 10ème édition du VITI VINI

<h2>1&egrave;re &eacute;tape : l'appel &agrave; projets du 1er octobre au 30 novembre 2018</h2>Qui peut candidater &agrave; cet appel &agrave; projets ? &bull; Tous les porteurs de projets situ&eacute;s sur les d&eacute;partements de l'Aube, de la C&ocirc;te-d'Or, de la Haute-Marne et de l'Yonne. &bull; Pour financer un projet agricole ou alimentaire (achat de mat&eacute;riel, constitution d'un cheptel,&nbsp;construction d'un b&acirc;timent, mise aux normes, communication, diversification d'activit&eacute;s...)Comment candidater ?Les candidats :&bull; compl&egrave;tent le formulaire d'inscription sur ca-cb.miimosa.com avant le 30 novembre 2018, &bull; &eacute;changent avec les &laquo; coachs &raquo; MiiMOSA pour peaufiner leur projet, &bull; et lancent leur collecte de financement participatif avant le 31 janvier 2019.Quels avantages pour les candidats ? Gr&acirc;ce &agrave; l'accompagnement de MiiMOSA, la collecte de financement participatif permet : &middot; d'obtenir un financement pour son projet, &middot; de f&eacute;d&eacute;rer une communaut&eacute;, d&eacute;velopper sa notori&eacute;t&eacute;, &middot; de valoriser son histoire et ses savoir-faire, &middot; de v&eacute;hiculer l'image d'un acteur innovant et dynamique, &middot; de d&eacute;velopper son activit&eacute; commerciale.<h6></h6><h2>2&egrave;me &eacute;tape : </h2>La campagne de financement participatif ouverte au grand public du 1er d&eacute;cembre au 31 janvier 2019.&nbsp;<h2>3&egrave;me &eacute;tape : </h2>La s&eacute;lection des projets &laquo; coup de coeur &raquo; par le Cr&eacute;dit Agricole de Champagne-Bourgogne, au printemps 2019.Cette collaboration est l'illustration concr&egrave;te de l'engagement du Cr&eacute;dit Agricole de Champagne-Bourgogne en faveur du territoire et plus particuli&egrave;rement en faveur des agriculteurs et des viticulteurs.<h2>Rendez-vous d&egrave;s le 01er octobre sur ca-cb.miimosa.com</h2>Parlez-en autour de vous !


Le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne s’associe à MiiMOSA, 1ère plateforme de financement participatif exclusivement dédiée à l’agriculture et à l’alimentation, pour accompagner les projets de l’Aube, de la Côte-d’Or, de la Haute-Marne et de l’Yonne. Du 1er octobre et jusqu’au 30 novembre 2018, les porteurs de projets peuvent candidater à l’appel à projets pour lancer une collecte de financement participatif avec l’aide de MiiMOSA et ainsi bénéficier du soutien du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne.


Plus qu'1 mois - Financement participatif- Appel à projets, jusqu'au 30 novembre 2018 pour déposer votre dossier

Des amendes pour un total de 8.000 euros ont &eacute;galement &eacute;t&eacute; requises contre&nbsp;Cathy Chabalgoity, responsable d'une exploitation &agrave; Barcus, alors que 10.000&nbsp;euros d'amende ont &eacute;t&eacute; requis contre le syndicat agricole ELB (Euskal&nbsp;Laborarien Batasuna)- Conf&eacute;d&eacute;ration paysanne.&nbsp;A l'initiative du syndicat, 300 personnes se sont rassembl&eacute;es devant le&nbsp;palais de justice , dont Laurent Pinatel, porte-parole de la Conf&eacute;d&eacute;ration&nbsp;paysanne, venu soutenir les pr&eacute;venus et "la lutte contre l'industrialisation&nbsp;de l'agriculture".Le 14 puis le 21 avril 2017, 250 personnes s'&eacute;taient r&eacute;unies devant&nbsp;l'exploitation de l'&eacute;leveuse pour en bloquer l'acc&egrave;s aux services sanitaires&nbsp;qui devaient y proc&eacute;der &agrave; l'abattage pr&eacute;ventif des canards. Elles estimaient&nbsp;que les animaux &eacute;taient "sains".&nbsp;Mme Chabalgoity a assur&eacute; au tribunal avoir" essay&eacute; de trouver des solutions&nbsp;avec les services de la Direction d&eacute;partementale de la protection des&nbsp;populations" car elle n'&eacute;tait "pas d'accord avec les mesures d'abattage&nbsp;pr&eacute;ventif syst&eacute;matique".&nbsp;Elle a affirm&eacute; avoir mis ses b&ecirc;tes &agrave; disposition des agents de la DDPP,&nbsp;ajoutant que le blocage n'&eacute;tait pas de son ressort. "J'ai &eacute;t&eacute; spectatrice de&nbsp;la situation", a-t-elle dit &agrave; la barre.&nbsp;Le directeur des services sanitaires Alain Mespl&egrave;de a de son c&ocirc;t&eacute; indiqu&eacute;&nbsp;qu'elle n'avait "rien fait pour d&eacute;bloquer la situation".&nbsp;Panpi Sainte-Marie, secr&eacute;taire g&eacute;n&eacute;ral d'ELB, a pour sa part affirm&eacute; &ecirc;tre&nbsp;"responsable" de ces blocages : "Un syndicat est l&agrave; pour d&eacute;fendre les&nbsp;paysans", a-t-il dit.Pour la procureure de Pau C&eacute;cile Gensac, "l'enjeu du d&eacute;bat aujourd'hui,&nbsp;c'est la sant&eacute; publique". Arguant de la "dangerosit&eacute; du virus", elle a point&eacute;&nbsp;du doigt "l'&eacute;go&iuml;sme" de telles actions, "on parle bien d'un sujet aux&nbsp;r&eacute;percussions mondiales".&nbsp;Les avocats de la d&eacute;fense ont plaid&eacute; la relaxe. Des condamnations seraient&nbsp;"un gage donn&eacute; &agrave; l'industrie agroalimentaire qui fait porter le poids sur les&nbsp;petits &eacute;leveurs", selon Me Anne-Marie Mendiboure.Pour mettre un terme &agrave; l'&eacute;pid&eacute;mie de grippe aviaire dans le Sud-Ouest, le&nbsp;gouvernement avait impos&eacute; au printemps 2017 un vide sanitaire "obligatoire"&nbsp;dans les &eacute;levages de palmip&egrave;des de 1.134 communes &nbsp;sur cinq d&eacute;partements. Des&nbsp;millions de volatiles avaient &eacute;t&eacute; abattus.&nbsp;Les trois &eacute;levages, dont celui de Barcus, o&ugrave; les abattages avaient &eacute;t&eacute;&nbsp;bloqu&eacute;es, avaient ensuite &eacute;t&eacute; simplement plac&eacute;s sous "surveillance sanitaire"&nbsp;mais la pr&eacute;fecture avait saisi le parquet pour "entrave &agrave; une disposition&nbsp;r&eacute;glementaire".&nbsp;Le jugement a &eacute;t&eacute; mis en d&eacute;lib&eacute;r&eacute; au 10 d&eacute;cembre.


Trois mois de prison avec sursis ont été requis lundi par le tribunal correctionnel de Pau contre une éleveuse des Pyrénées-Atlantiques qui avait, en avril 2017, refusé l'abattage préventif de ses canards contre la grippe aviaire.


Grippe aviaire: l'éleveuse avait refusé d'abattre ses canards, 3 mois avec  sursis requis

<ul>
	<li>La FNSEA 44 et JA 44 ont programm&eacute; une s&eacute;rie de r&eacute;unions th&eacute;matiques dans les prochaines semaines. Pourquoi&nbsp;?</li>
</ul>
Parce que le d&eacute;partement est riche de productions, il semblait important de r&eacute;unir les exploitants sur des th&egrave;mes aussi vari&eacute;s que sont l&rsquo;environnement, les grandes cultures, la viticulture, le lait, la viande, l&rsquo;agriculture biologique. Des responsables nationaux de la FNSEA et de JA seront pr&eacute;sents lors de ces r&eacute;unions d&rsquo;&eacute;change. Notre objectif est de renforcer le lien entre les instances nationales et le terrain, en &eacute;voquant des r&eacute;alit&eacute;s et des pr&eacute;occupations locales.

<ul>
	<li>Quels sujets seront abord&eacute;s lors de ces rencontres&nbsp;?</li>
</ul>
La premi&egrave;re rencontre a lieu le 9 novembre prochain &agrave; Saffr&eacute;, par une r&eacute;union d&rsquo;information et d&rsquo;&eacute;changes autour de la probl&eacute;matique des phytos et autres sujets environnementaux avec Eric Thirouin, secr&eacute;taire g&eacute;n&eacute;ral de l&rsquo;AGPB (Assembl&eacute;e g&eacute;n&eacute;rale des producteurs de bl&eacute;) et Nicolas Sarthou, membres du conseil d&rsquo;administration chez JA. Ensuite, c&rsquo;est au ch&acirc;teau de la Fr&eacute;moire &agrave; Vertou que FNSEA 44 et JA 44 donnent RDV le 13 novembre aux exploitants pour &eacute;changer sur le th&egrave;me de la viticulture. Une r&eacute;union viande bovine est pr&eacute;vue le 15 novembre &agrave; la maison de l&rsquo;agriculture et sera ax&eacute;e sur le dossier export. Emmanuel Bernard, vice-pr&eacute;sident de la FNB et repr&eacute;sentant des &eacute;leveurs au sein d&rsquo;Interbev interviendra &eacute;galement sur le plan de fili&egrave;re viande et sur les diff&eacute;rents dossiers d&rsquo;actualit&eacute;s, notamment la probl&eacute;matique du transport des animaux accident&eacute;s. Andr&eacute; Bonnard, secr&eacute;taire g&eacute;n&eacute;ral de la FNPL abordera le 21 novembre notamment la conjoncture, les perspectives de fin de campagne, le plan de fili&egrave;re et la mont&eacute;e en gamme. Une r&eacute;union agriculture biologique cl&ocirc;turera la tourn&eacute;e FNSEA 44 / JA 44. &nbsp;Elle est pr&eacute;vue le 22 novembre en pr&eacute;sence d&rsquo;Etienne Gangneron, vice-pr&eacute;sident de la FNSEA en charge de la commission Bio. Un point sera fait sur les paiements des dossiers bio 2016 et 2017 et sur le budget consacr&eacute; au bio dans la prochaine PAC 2020.

<ul>
	<li>La FNSEA 44 organise &eacute;galement des r&eacute;unions locales. Pourquoi&nbsp;? </li>
</ul>
La force d&rsquo;un syndicat r&eacute;side dans son r&eacute;seau. De la commune au d&eacute;partement, chaque &eacute;chelon compte. Plus nous sommes nombreux et plus nous pouvons peser dans les d&eacute;cisions. Nous voulons aussi &ecirc;tre au plus proche du terrain et des probl&eacute;matiques locales, et surtout &eacute;changer. Pour nous, la dynamique locale, est la base. Aussi r&eacute;unir des agricultrices et agriculteurs qui souhaitent se regrouper pour peser dans les d&eacute;bats qui concernent leur m&eacute;tier est fondamental. C&rsquo;est pourquoi Les secr&eacute;taires g&eacute;n&eacute;raux adjoints de la FNSEA 44 ont d&eacute;cid&eacute; d&rsquo;organiser diff&eacute;rentes rencontres dans plusieurs communes. 
&nbsp;
<table border="1" cellspacing="0" class="MsoTableGrid" style="border-collapse:collapse; border:solid windowtext 1.0pt; width:542.0pt">
	<tbody>
		<tr>
			<td colspan="5" style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:542.0pt">Calendrier des r&eacute;unions de section</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:90.45pt">R&eacute;unions th&eacute;matiques</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:3.0cm">Date </td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:42.55pt">Heure</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:155.9pt">Lieu</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:168.05pt">Intervenants nationaux</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:15.0pt; width:90.45pt">Grandes cultures Environnement</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:3.0cm">Vendredi 9/11</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:42.55pt">9h30</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:155.9pt">Le pas du Houx - Saffr&eacute;</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:168.05pt">Eric Thirouin (FNSEA) et Nicolas Sarthou (JA)</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:15.0pt; width:90.45pt">Viticulture</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:3.0cm">Mardi 13/11</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:42.55pt">10h30</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:155.9pt">Ch&acirc;teau de la Fr&eacute;moire &nbsp;Vertou</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:168.05pt">J&eacute;r&ocirc;me Despey (FNSEA) et Samuel Masse (JA)</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:15.0pt; width:90.45pt">Viande bovine</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:3.0cm">Jeudi 15/11</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:42.55pt">10h</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:155.9pt">Maison de l'agriculture - Nantes</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:168.05pt">Emmanuel Bernard (FNB) et Guillaume Gautier (JA)</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:15.0pt; width:90.45pt">Lait</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:3.0cm">Mercredi 21 /11</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:42.55pt">10h</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:155.9pt">Salle des Bruy&egrave;res &agrave; H&eacute;ric</td>
			<td style="height:15.0pt; vertical-align:top; width:168.05pt">Andr&eacute; Bonnard (FNPL)</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:25.4pt; width:90.45pt">Agriculture biologique</td>
			<td style="height:25.4pt; vertical-align:top; width:3.0cm">Jeudi 22/11</td>
			<td style="height:25.4pt; vertical-align:top; width:42.55pt">10h</td>
			<td style="height:25.4pt; vertical-align:top; width:155.9pt">&agrave; confirmer</td>
			<td style="height:25.4pt; vertical-align:top; width:168.05pt">Etienne Gangneron (FNSEA)</td>
		</tr>
	</tbody>
</table>
&nbsp;

<table align="left" border="1" cellspacing="0" class="Table" style="border-collapse:collapse; border:solid windowtext 1.0pt; margin-left:4.05pt; margin-right:4.05pt; width:565.3pt">
	<tbody>
		<tr>
			<td colspan="5" style="height:25.5pt; width:565.3pt">Calendrier des r&eacute;unions locales</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:109.85pt">Date</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:45.35pt">Heure</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:124.75pt">Salle</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:184.25pt">Adresse&nbsp; de la salle</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:101.1pt">Commune</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:109.85pt">mardi 6 novembre</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:45.35pt">20h30</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:124.75pt">Hall du th&eacute;&acirc;tre</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:184.25pt">Rue du th&eacute;&acirc;tre </td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:101.1pt">la Chevallerais</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:109.85pt">mardi 13 novembre</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:45.35pt">20h30</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:124.75pt">Salle Muscadet</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:184.25pt">Complexe sportif du Trianon, rue du Trianon</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:101.1pt">Vieillevigne</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:109.85pt">mardi 13 novembre</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:45.35pt">20h30</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:124.75pt">Salle de la Providence</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:184.25pt">Rue de la fontaine</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:101.1pt">Le Pin</td>
		</tr>
		<tr>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:109.85pt">mercredi 21 novembre</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:45.35pt">20h30</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:124.75pt">Salle du Val de S&egrave;vre</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:184.25pt">4, rue du Val de S&egrave;vre</td>
			<td style="height:15.75pt; vertical-align:bottom; width:101.1pt">Boussay</td>
		</tr>
	</tbody>
</table>
 
 
 
 
 
 
&nbsp;
<ul>
	<li>Pour participer &agrave; ces r&eacute;unions de section, inscrivez-vous par mail &agrave; <a href="mailto:44@fnsea44.fr" style="color:blue; text-decoration:underline">44@fnsea44.fr</a> ou par t&eacute;l&eacute;phone au 02 40 16 37 45.</li>
</ul>

FNSEA 44 et JA convient l’ensemble des exploitants à venir échanger lors de réunions d'information multi-productions. 

Loire-Atlantique - Des réunions FNSEA 44 - JA 44 toutes productions pour tous les producteurs

Le Sial, Salon international de l&rsquo;alimentation, s&rsquo;est tenu &agrave; Paris du 21 au 25 octobre. Ce salon g&eacute;ant, qui pr&eacute;sente l&rsquo;alimentation de demain, a r&eacute;uni 310 000 visiteurs, tous professionnels, dont 75 % d&rsquo;&eacute;trangers. 
Quelque 400 000 produits sur une surface &eacute;quivalente &agrave; plus de 100 supermarch&eacute;s y ont &eacute;t&eacute; pr&eacute;sent&eacute;s. Et parmi ceux-ci, beaucoup d&rsquo;innovations, dont celle d&rsquo;une toute jeune start-up nantaise, Cocasse. 
Prix espoir 
Invit&eacute;s &agrave; participer au Sial dans la cat&eacute;gorie &laquo; Future lab-rising start-up &raquo;, les deux fondateurs de Cocasse, Pauline Berthonneau et Kevin Singer, en repartent avec le prix innovation espoir, qui r&eacute;compense la meilleure innovation du salon pour une jeune entreprise, toutes cat&eacute;gories confondues. 
Le produit innovant de Cocasse, ce sont des tablettes de l&eacute;gumes bio, compos&eacute;es uniquement de beurre de cacao et d&rsquo;un l&eacute;gume (tomates, betterave, carotte et bient&ocirc;t potiron). Cocasse correspond bien aux tendances r&eacute;v&eacute;l&eacute;es par le Sial 2018 : le consommateur est aujourd&rsquo;hui &agrave; la recherche de produits vrais, ayant du go&ucirc;t et du sens. 
Au sein d'Oniris 
Pauline et Kevin l&rsquo;ont imagin&eacute; dans le cadre d&rsquo;un projet d'&eacute;co-innovation men&eacute; alors qu'ils &eacute;taient en 3e ann&eacute;e de la formation Ing&eacute;nieur &agrave; Oniris. D&eacute;sormais dipl&ocirc;m&eacute;s et entrepreneurs, Pauline et K&eacute;vin sont toujours pr&eacute;sents &agrave; Oniris, au sein de la halle de technologie alimentaire de l'&eacute;cole, qui met &agrave; disposition une partie de ses &eacute;quipements pour leurs premi&egrave;res productions. 
Pr&eacute;sentes aujourd'hui dans les 48 Franprix de Paris et la r&eacute;gion parisienne, les tablettes de l&eacute;gumes Cocasse seront en vente dans les jours &agrave; venir sur Amazon. 
Pour en savoir plus : &nbsp;www.cocasse-food.fr 
 
 
 
 
 
 
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Les tablettes de légumes inventées au sein des laboratoires de l’école nantaise Oniris viennent d’être distinguées par un prix de l’innovation « espoir » du Salon international de l’alimentation.

Loire-Atlantique - Des tablettes de légumes primées au Sial

"Les cours du colza ne b&eacute;n&eacute;ficiaient que tr&egrave;s peu du rebond des cours du&nbsp;soja, les op&eacute;rateurs affichant toujours leur scepticisme sur une vraie&nbsp;am&eacute;lioration des relations sino-am&eacute;ricaines", indique le cabinet Agritel dans&nbsp;un note.Alors que la moiti&eacute; environ des importations chinoises aux &Eacute;tats-Unis est&nbsp;d&eacute;j&agrave; soumise &agrave; ces sanctions, Donald Trump a menac&eacute; de frapper la totalit&eacute; des&nbsp;produits chinois et l'administration Trump n'est pas repr&eacute;sent&eacute;e &agrave; la foire de&nbsp;Shanghai.De plus, les stocks d'huile de palme "s'affichent encore en hausse, ne&nbsp;permettant pas un rebond des cours sur Kuala Lumpur, malgr&eacute; des niveaux de&nbsp;prix jug&eacute;s tr&egrave;s bas, proches du seuil psychologique des 2.000 ringgits la&nbsp;tonne", ajoute la note.Vers 12H00 (11H00 GMT) sur Euronext, la tonne de colza perdait 2 euros sur&nbsp;l'&eacute;ch&eacute;ance de f&eacute;vrier &agrave; 373,75 euros, comme sur celle de mai &agrave; 373,75 euros&nbsp;&eacute;galement, pour moins de 1.000 lots &eacute;chang&eacute;s.Sur le march&eacute; physique, les cours des tourteaux de soja et de colza &eacute;taient&nbsp;en recul, ceux du tournesol restaient inchang&eacute;s.&nbsp;


Les prix du colza reculaient sur Euronext lundi à la mi-journée, plombés par les inquiétudes sur les relations entre la Chine et les États-Unis.


Recul des prix du colza européen, inquiétudes sur les relations sino-américaines

Cette interdiction d&eacute;finitive intervient apr&egrave;s la suspension fin octobre&nbsp;pour trois mois de l'utilisation de ce pesticide, point&eacute; du doigt apr&egrave;s&nbsp;plusieurs intoxications dans l'Ouest de la France.&nbsp;L'Anses a r&eacute;examin&eacute; l'ensemble des autorisations de mise sur le march&eacute; de&nbsp;produits contenant du m&eacute;tam-sodium, "en prenant en compte leurs conditions&nbsp;d'emploi" et "conclut que l'ensemble de ces usages repr&eacute;sente un risque pour&nbsp;la sant&eacute; humaine et l'environnement", selon un communiqu&eacute;.&nbsp;Par cons&eacute;quent, "l'Anses vient donc de notifier aux industriels son&nbsp;intention de retirer les autorisations de mise sur le march&eacute; de tous les&nbsp;produits &agrave; base de m&eacute;tam-sodium". Cette interdiction devrait &ecirc;tre effective&nbsp;d'ici la fin du mois de novembre, a pr&eacute;cis&eacute; une porte-parole.Les produits &agrave; base de m&eacute;tam-sodium servent &agrave; d&eacute;sinfecter les sols, contre&nbsp;les champignons ou des vers, avant l'installation d'une culture. "Ils sont&nbsp;notamment employ&eacute;s sur des cultures mara&icirc;ch&egrave;res, telles que la m&acirc;che et la&nbsp;tomate, ou encore en horticulture", rappelle l'Anses.&nbsp;Ils sont utilis&eacute;s sur des petites surfaces en plein champ ou sous serre,&nbsp;mais en grande quantit&eacute; pour &ecirc;tre efficace. R&eacute;sultat, environ 700 tonnes sont&nbsp;utilis&eacute;es chaque ann&eacute;e en France, pr&eacute;cise l'Agence.&nbsp;Le m&eacute;tam-sodium est en particulier utilis&eacute; dans l'ouest de la France, o&ugrave; le&nbsp;mara&icirc;chage est important. Plusieurs cas d'intoxication ont &eacute;t&eacute; rapport&eacute;s fin&nbsp;septembre et en octobre dans le Maine-et-Loire, ce qui avait conduit dans un&nbsp;premier temps la pr&eacute;fecture &agrave; interdire ce pesticide &agrave; titre provisoire.En octobre, cinq personnes avaient &eacute;t&eacute; "incommod&eacute;es" par une exposition au&nbsp;m&eacute;tam-sodium dans le Finist&egrave;re.&nbsp;Le gouvernement avait ensuite suspendu jusqu'&agrave; la fin janvier l'utilisation&nbsp;en France des produits contenant du m&eacute;tam-sodium sur l'ensemble du territoire.&nbsp;Le mara&icirc;chage repr&eacute;sente 60% des emplois agricoles de Loire-Atlantique,&nbsp;soit 4.600 emplois qui permettent de produire d'importantes quantit&eacute;s de&nbsp;poireaux, concombres, tomates ou encore de la m&acirc;che, selon les chiffres de la&nbsp;F&eacute;d&eacute;ration des mara&icirc;chers nantais. Plus de la moiti&eacute; de la m&acirc;che produite dans&nbsp;l'Union europ&eacute;enne (35.000 tonnes par an) est ainsi produite dans la r&eacute;gion&nbsp;nantaise.Des alternatives au m&eacute;tam-sodium existent et sont d&eacute;j&agrave; largement utilis&eacute;es&nbsp;par les agriculteurs, mais les mara&icirc;chers insistent sur leurs contraintes. La&nbsp;solarisation, qui consiste &agrave; utiliser la chaleur du soleil pour d&eacute;sinfecter&nbsp;les sols, est ainsi limit&eacute;e en raison du climat en Loire-Atlantique, tandis&nbsp;que la d&eacute;sinfection &agrave; la vapeur est tr&egrave;s gourmande en temps et en carburant.


L'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a annoncé lundi l'interdiction des produits à base de métam-sodium, jugeant que ce pesticide utilisé notamment par les producteurs de mâche représentait "un risque pour la santé humaine et l'environnement".


L'Anses interdit les produits à base de métam-sodium

<h2>Lancement le 5 novembre 2018 !</h2>Ces derni&egrave;res ann&eacute;es l'agriculture bio a connu un bel essor. Du cot&eacute; des conversions mais &eacute;galement du c&ocirc;t&eacute; de la consommation qui ne cesse de cro&icirc;tre (+ de 18% en France entre 2016 et 2017). Les transformateurs et les distributeurs sont toujours &agrave; la recherche de produits biologiques. Pour l'un des leaders de la distribution bio il faudrait 60 000 producteurs bio en plus dans les 5 ans pour satisfaire la demande de produits bio fran&ccedil;ais. Le mois de la bio est une v&eacute;ritable occasion pour s'informer directement aupr&egrave;s de ceux qui produisent, transforment et vendent des produits biologiques. Cet &eacute;v&eacute;nement est sp&eacute;cialement destin&eacute; aux producteurs conventionnels et l'ensemble des acteurs de l'agriculture y participent. Ils pourront rencontrer et interroger les conseillers du r&eacute;seau bio, des chambres d'agriculture, des coop&eacute;ratives et groupements. Les producteurs bio ouvrent leurs fermes en nombre et c'est &eacute;galement l'occasion d'&eacute;changer entre professionnels sur les d&eacute;fis techniques qu'ils rel&egrave;vent, les succ&egrave;s et les &eacute;cueils &agrave; &eacute;viter dans le mode de production biologique. La diversit&eacute; des fili&egrave;res pr&eacute;sentes en r&eacute;gion Nouvelle-Aquitaine assure &agrave; chacun de trouver l'information dont il a besoin pour faire &eacute;voluer son projet d'entreprise.<h2>Un programme sp&eacute;cifique pour les g&eacute;n&eacute;rations futures d'agriculteurs</h2>Les &eacute;tablissements de formation agricole, pour la formation initiale, pour l'apprentissage ou la formation continue d'adultes, b&eacute;n&eacute;ficient &eacute;galement d'un programme sp&eacute;cial. En effet, il s'agit de faciliter l'acc&egrave;s &agrave; des visites de fermes bio pour tous les enseignants et formateurs. Trajectoires de vie pour des agriculteurs ayant fait le choix de la bio, r&eacute;sultats &eacute;conomiques, organisation sur la ferme et sur le territoire, ... Autant de domaines sur lesquels les futurs agriculteurs et leurs enseignants peuvent questionner &agrave; l'occasion de ces visites (22 visites programm&eacute;es en r&eacute;gion).<h2>Grandes cultures : passer du conventionnel au bio, les techniques abord&eacute;es</h2>Douze journ&eacute;es sont pr&eacute;vues sur ces th&egrave;mes, de la Vienne au nord de la r&eacute;gion, jusque dans les Landes, au sud. Lors de ces journ&eacute;es, les coop&eacute;ratives et n&eacute;gociants seront pr&eacute;sents pour r&eacute;pondre aux questions des agriculteurs. Sur le plan technique, seront abord&eacute; la fertilisation, la gestion de l'enherbement, la m&eacute;canisation n&eacute;cessaire. Bref de quoi y voir plus clair avant de se lancer ! Les c&eacute;r&eacute;ales et ol&eacute;o prot&eacute;agineux sont des fili&egrave;res qui tirent le d&eacute;veloppement des conversions. Destin&eacute;es &agrave; l'alimentation animale ou humaine, livr&eacute;es en coop&eacute;rative 100% bio ou aupr&egrave;s d'op&eacute;rateurs mixtes, le d&eacute;veloppement des c&eacute;r&eacute;ales et ol&eacute;oprot&eacute;agineux concerne tous les acteurs. Ceci &eacute;tant de nombreuses questions peuvent se poser aux c&eacute;r&eacute;aliers qui s'interrogent sur la conversion : &bull; la p&eacute;rennit&eacute; des prix, &bull; les d&eacute;fis techniques que peuvent &ecirc;tre la gestion de l'enherbement ou la fertilisation, &bull; la r&eacute;glementation, &bull; la production de semences bio, pour une utilisation &agrave; la ferme ou en prestation, ...<h2>L'&eacute;levage en AB, pour se faire une opinion, loin des id&eacute;es re&ccedil;ues !</h2>Pour certains l'&eacute;levage en bio, c'est compliqu&eacute;, avec une r&eacute;glementation restrictive et des d&eacute;bouch&eacute;s limit&eacute;s. Pour autant, de nombreux &eacute;leveurs et op&eacute;rateurs &eacute;conomiques pourront vous d&eacute;montrer que quelquefois, la marche n'est pas si haute... Il s'agit surtout de repenser le syst&egrave;me fourrager et d'augmenter l'autonomie alimentaire. Non, en bio, on ne laisse pas mourir ses animaux sans les soigner ! Des traitements allopathiques, dans les limites de la r&eacute;glementation, peuvent &ecirc;tre autoris&eacute;s si la maladie est d&eacute;clar&eacute;e. Et de nombreux &eacute;leveurs et techniciens pr&eacute;senteront leurs m&eacute;thodes de prophylaxie et l'utilisation de traitements naturels. En terme de d&eacute;bouch&eacute;s pour la boucherie, il s'agit surtout de produire des animaux adapt&eacute;s au march&eacute; pour qu'ils puissent &ecirc;tre bien valoris&eacute;s en bio. D'o&ugrave; l'int&eacute;r&ecirc;t d'anticiper la conversion avec le metteur en march&eacute; et d'optimiser l'alimentation pour avoir une finition avec un bon rapport qualit&eacute;/prix. Les op&eacute;rateurs pr&eacute;senteront les opportunit&eacute;s de ce secteur. En ce qui concerne les monogastriques (porcs, volailles) la demande est forte et le march&eacute; est en croissance. La recherche n'est pas en reste dans ce secteur. Les stations INRA de Lusignan(86) et INRA du Magnereau (17) pr&eacute;senteront l'&eacute;tat des recherches actuelles en volailles et porcs bio. Quant &agrave; la production laiti&egrave;re bovine, ovine, caprine, des outils de transformation laiti&egrave;re bio sont en d&eacute;veloppement dans la r&eacute;gion. Le mois de la bio est &eacute;galement l'occasion de les visiter et d'&eacute;changer avec les collecteurs et transformateurs. Visite des laiteries de St Saviol (86), de la L&eacute;mance (47) et de nombreuses visites de fermes en production laiti&egrave;re.<h2>Toutes les fili&egrave;res... </h2>Le programme complet est disponible sur le site moisdelabio.fr et il est pr&eacute;f&eacute;rable de s'inscrire<aside class="factbox">
 <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
 Plus de 80 &eacute;v&eacute;nements destin&eacute;s aux professionnels agricoles en Nouvelle-Aquitaine
7&egrave;me &eacute;dition - Du 5 au 30 novembre 2018https://www.moisdelabio.fr/
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Agriculteurs, techniciens spécialisés et opérateurs économiques, toutes filières confondues informent les professionnels et répondent à leurs questions lors des événements proposés.L’objectif de cette manifestation est de découvrir l’AB sous les angles technique, économique, et humain. C’est l’occasion de mieux connaître l’agriculture biologique, sans dogmatisme mais en intégrant toutes les perspectives que ce mode de production peut allouer aux agriculteurs.


Mois de la bio en Nouvelle-Aquitaine, c'est l'heure !

Chez Kuhn, les Optimer d&eacute;signent les d&eacute;chaumeurs &agrave; disques dans des largeurs comprises entre 3 m et 7,5 m tandis que les Cultimer alignent trois rang&eacute;es de dents (85 cm sous b&acirc;ti) dans des largeurs comprises entre 3 m et 6 m. Le constructeur gratifie les Cultimer M et L ainsi que les Optimier XL et Optimer+ 103R d'un nouveau rouleau&nbsp;: le V-Liner. Celui-ci se caract&eacute;rise par ses coupelles place&#769;es tous les 12,5 cm associe&#769;es a&#768; des couteaux inse&#769;re&#769;s entre chaque coupelle. Le profil en &laquo; V &raquo; des coupelles assure un rappui optimal me&#770;me en conditions humides et les couteaux apportent une bonne qualite&#769; d'e&#769;miettement en terrain lourd. Ces derniers sont escamotables pour e&#769;viter la battance en sols limoneux. Les Cultimer M et L b&eacute;n&eacute;ficient par ailleurs du r&eacute;glage hydraulique en continu de la profondeur de travail, une propri&eacute;t&eacute; d&eacute;j&agrave; pr&eacute;sente sur les Prolander, les cultivateurs &agrave; dents vibrantes (5 rang&eacute;es) destin&eacute;s &agrave; assurer la reprise de labour, la pr&eacute;paration de lit de semences ou encore un d&eacute;chaumage superficiel en deuxi&egrave;me passage.<h2>Dent &agrave; trou &agrave; soc r&eacute;versible</h2>Le Prolander peut d&eacute;sormais &ecirc;tre dot&eacute; d'un dent un trou e&#769;quipe&#769;e d'un soc droit re&#769;versible, renfor&ccedil;ant la long&eacute;vit&eacute; des pi&egrave;ces d'usure et facilitant leur remplacement. Les socs droits sont forge&#769;s et traite&#769;s thermiquement afin d'accroi&#770;tre de 20% supple&#769;mentaire leur dure&#769;e de vie. Ce nouveau soc droit est forge&#769; dans le but de donner une forme particulie&#768;re a&#768; la pie&#768;ce avec plus d'e&#769;paisseur sur la zone de travail et de conserver sa forme en &laquo; V &raquo; pe&#769;ne&#769;trante. Le Prolander h&eacute;rite par ailleurs d'un rouleau tube de 550 mm de diame&#768;tre, associe&#769; au rouleau barre de 420 mm. Il combine portance et vitesse de rotation, e&#769;miettement et la cre&#769;ation de terre fine. Adapte&#769; pour le de&#769;chaumage, le double rouleau &ecirc;tre exploit&eacute; en &eacute;t&eacute; en cre&#769;ant un faux semis.


Les Optimer à disques et les Cultimer à dents peuvent recevoir le nouveau rouleau V-Liner. Le préparateur Prolander hérite d’une dent à trou à soc réversible et d’un nouveau rouleau tube-barre.


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