<p>Graines d'Agriculteurs est un concours qui, depuis 2011, valorise les initiatives et innovations d'agriculteurs r&eacute;cemment install&eacute;s.</p><p>le th&egrave;me de l'&eacute;dition 2024 :&nbsp;<strong>La technologie au service de l'agriculture et de l'humain.</strong></p><p>En 2024, pour sa 14&egrave;me &eacute;dition, le concours Graines d&rsquo;Agriculteurs, vitrine et tremplin des mod&egrave;les de l&rsquo;agriculture de demain, r&eacute;compense la mise en place ou le d&eacute;veloppement d&rsquo;innovations technologiques au sein des exploitations d&rsquo;agriculteurs.&nbsp;Les trois laur&eacute;ats du concours remporteront chacun la somme de 3 000&euro;, afin de les aider &agrave; d&eacute;velopper leurs projets.</p><p>&nbsp;</p><h1 style="text-align:center;"><a href="https://graines-agriculteurs.fr/candidats" target="_blank" title=""><strong>V</strong><strong>OTE&nbsp;</strong></a></h1><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p>


Graines d’Agriculteurs est le seul concours agricole où le grand public est appelé à élire son finaliste préféré. En votant vous soutenez les projets innovants et durables d’un jeune agriculteur et participez à valoriser les modèles de l’agriculture de demain
Jusqu’au 26 août

[Votez] pour dix finalistes du concours GRAINES D’AGRICULTEURS 2024

BCAE 2 : entrée en vigueur en 2025

UE : les 27 favorables à une règlementation plus souple pour les nouvelles techniques génomiques

Face à une taxation des engrais russes, les céréaliers tirent la sonnette d’alarme

<p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Apr&egrave;s deux ann&eacute;es de croissance, de respectivement +11,2% et +1,6% en 2021 et 2022, le nombre de d&rsquo;installations d&rsquo;exploitants agricoles a baiss&eacute; de 3,6% en 2023, annonce la MSA. Il est ainsi repass&eacute; sous la barre des 14.000 unit&eacute;s. Avec 13.621 installations, il reste cependant dans la moyenne observ&eacute;e entre 2018 et 2022 (13.577 unit&eacute;s)</p><aside class="read-also">
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    <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/la-loi-d-orientation-agricole-un-double-defi-productif-et-inclusif" target="_blank" title="">La loi d&rsquo;orientation agricole, un double d&eacute;fi productif et inclusif</a>
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<h2 class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Une baisse de 6,8% chez les jeunes install&eacute;s</h2><p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">La baisse du nombre d&rsquo;installations en 2023 est due &agrave; la d&eacute;croissance observ&eacute;e chez install&eacute;s &acirc;g&eacute;s de 40 ans et moins, qui repr&eacute;sentent les deux tiers (67,9%) des installations. Apr&egrave;s avoir augment&eacute; de 1,7% en 2022, le nombre de jeunes install&eacute;s &eacute;ligibles aux aides a baiss&eacute; de 6,8% en 2023. Cette d&eacute;croissance n&rsquo;est pas compens&eacute;e par les installations des plus de 40 ans, malgr&eacute; la hausse de 7,4% (3911 unit&eacute;s, soit 28,7% des installations) dans la cat&eacute;gorie hors transfert entre &eacute;poux. Les installations tardives r&eacute;sultant d&rsquo;un transfert entre &eacute;poux sont au nombre de 461 en 2023, en baisse de 18,0% (soit 3,4% des installations).</p><aside class="read-also">
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    <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/fonds-de-portage-foncier-elan-40-millions-d-euros-au-service-d-une-centaine-d-installations" target="_blank" title="">Fonds de portage foncier Elan : 40 millions d&rsquo;euros au service d&rsquo;une centaine d&rsquo;installations</a>
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<h2 class="MsoBodyText" style="text-align:justify;">L&rsquo;Occitanie devant Nouvelle-Aquitaine et Auvergne Rh&ocirc;ne-Alpes</h2><p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Trois r&eacute;gions concentrent chaque ann&eacute;e pr&egrave;s de la moiti&eacute; des installations des chefs d&rsquo;exploitations, &agrave; savoir l&rsquo;Occitanie (17,6% des installations, +2,7% sur un an), la Nouvelle-Aquitaine (15,2%, -4,7%) et Auvergne-Rh&ocirc;ne-Alpes (13,4%, -8,2%). Suivent le Grand-Est (8,8%), les Pays de la Loire (7,9%), la Bretagne (6,9%), la Normandie (6,8%), Bourgogne-Franche-Comt&eacute; (6,4%) etc.</p><p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">A l&rsquo;&eacute;chelle d&eacute;partementale, trois d&eacute;partements contribuent &agrave; la hausse d&rsquo;un point du nombre d&rsquo;install&eacute;s : le Gers (+46,8%), la Haute-Garonne (+21,3%) et la Charente-Maritime (+18,0%). A contrario, trois d&eacute;partements contribuent &agrave; la baisse d&rsquo;un point du nombre d&rsquo;install&eacute;s : le Gard (-21,3%), les Deux-S&egrave;vres (-27,1%) et les Pyr&eacute;n&eacute;es-Orientales (-30,9%).</p><aside class="read-also">
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    <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/du-veau-a-la-tomme-l-installation-de-celine-l-histoire-d-une-petite-annonce-et-d-un-grand-projet" target="_blank" title="">Du veau &agrave; la tomme : l&rsquo;installation de C&eacute;line, l&rsquo;histoire d&rsquo;une petite annonce et d&rsquo;un grand projet</a>
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<h2 class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Surface moyenne en hausse, &agrave; 36,6 ha chez les jeunes install&eacute;s</h2><p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">En 2023, la superficie moyenne du jeune install&eacute; s&rsquo;&eacute;l&egrave;ve &agrave; 36,6ha (contre 35,8ha en 2022). La moiti&eacute; des jeunes install&eacute;s agricoles exploite en moyenne une superficie (par install&eacute;) inf&eacute;rieure ou &eacute;gale &agrave; 20ha et un quart exploite plus de 55ha. Dans la cat&eacute;gorie hors transfert entre &eacute;poux, la superficie moyenne mise en &oelig;uvre par les install&eacute;s tardifs s&rsquo;&eacute;tablit &agrave; 22,5ha contre 23,5ha en 2022. La moiti&eacute; dispose de moins de 10ha et un quart d&rsquo;entre eux met en valeur plus de 31ha.</p><aside class="read-also">
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    <a href="https://www.pleinchamp.com/actualite/baptiste-hance-20-ans-une-installation-en-3-mois-et-2-mouvements" target="_blank" title="">Baptiste Hance, 20 ans&nbsp;: &laquo;&nbsp;Une installation en 3 mois et 2 mouvements&nbsp;&raquo;</a>
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<h2 class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Le taux de f&eacute;minisation en hausse, &agrave; 40,2%, mais contrast&eacute;</h2><p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Le taux de f&eacute;minisation pour l&rsquo;ensemble des install&eacute;s continue de cro&icirc;tre et s&rsquo;&eacute;tablit &agrave; 40,2% contre 39,6 % en 2022. Chez les jeunes install&eacute;s, la part des femmes s&rsquo;&eacute;tablit &agrave; 33,8% contre 32,9% en 2022. Chez les install&eacute;es tardives, hors transfert entre &eacute;poux, les femmes deviennent pour la premi&egrave;re fois minoritaires avec une part &agrave; 49,3% en 2023 contre 50,2% en 2022, et 58% sept ans plus t&ocirc;t.</p><p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">En 2023, la superficie moyenne exploit&eacute;e par les femmes install&eacute;es est de 26,7ha contre 36,8ha chez les hommes. Les femmes sont majoritaires dans deux secteurs d&rsquo;activit&eacute;, &agrave; savoir l&rsquo;&eacute;levage de chevaux (62,3%) et l&rsquo;entra&icirc;nement, le dressage, les haras et clubs hippiques (61,3%).</p><p class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Les femmes s&rsquo;installent &agrave; 53,9% sous forme soci&eacute;taire contre 53,3% chez les hommes.</p><h2 class="MsoBodyText" style="text-align:left;">Une majorit&eacute; d&rsquo;installations sous forme soci&eacute;taire</h2><p>En 2022, 56,3% des jeunes s&rsquo;&eacute;tablissent en socie&#769;te&#769; contre 55,2% en 2022, avec une pre&#769;dilection pour les Gaec, (24,5% des installations) et les EARL (14,7%). Le transfert entre e&#769;poux se re&#769;alise logiquement sous une forme juridique en nom personnel (79,8% des installations). Pour les installe&#769;s tardifs hors transfert entre e&#769;poux, la forme soci&eacute;taire devient l&eacute;g&egrave;rement majoritaire en 2023 (50,9%).</p><h2>La pluriactivit&eacute; en hausse</h2><p style="text-align:left;">En 2023, 43,2% de l&rsquo;ensemble des install&eacute;s se d&eacute;clarent pluriactifs, contre 39,2% en 2022.&nbsp;Chez les install&eacute;s de 40 ans et moins, le taux de pluriactivit&eacute; continuer d&rsquo;augmenter, &agrave; pr&egrave;s de 40%. Il atteint 40,4% chez les hommes contre 37,9% en 2022 et 39,3% chez les femmes contre 35,4% en 2022.&nbsp;Chez les install&eacute;s de plus de 40 ans hors transfert entre &eacute;poux, plus de la moiti&eacute; (51,5%) sont pluriactifs (55,7% chez les hommes et de 48,4% chez les femmes).&nbsp;Lorsqu&rsquo;il y a un transfert entre &eacute;poux, le taux de pluriactivit&eacute; est de 39,9% (37,2% chez les hommes et de 41,1% chez les femmes).&nbsp;Le taux de pluriactivit&eacute; culmine &agrave; 66,9% dans le secteur des grandes cultures.</p><h2>3 installations sur 4 passent le cap des 6 ans</h2><p style="text-align:left;">Toutes cat&eacute;gories d&rsquo;install&eacute;s confondues, le taux de maintien en activit&eacute; apr&egrave;s 6 ans d&rsquo;exercice s&rsquo;&eacute;tablit &agrave; 76,9%, contre 77,0% en 2022. Le taux de maintien est extr&ecirc;mement &eacute;lev&eacute; pour les jeunes (85,6 %) mais plus faible, sous l&rsquo;effet des d&eacute;parts en retraite, chez les install&eacute;s de plus de 40 ans : 63,1% pour les install&eacute;s hors transfert et 48,4% pour les install&eacute;s suite &agrave; un transfert entre &eacute;poux.</p><p style="text-align:left;">Le taux de maintien apr&egrave;s 6 ans varie sensiblement selon l&rsquo;orientation &eacute;conomique de l&rsquo;exploitant, avec en t&ecirc;te les agriculteurs pratiquant la polyculture ou le poly-&eacute;levage (84,2%), les &eacute;leveurs de bovins lait (83,5%), les &eacute;leveurs de bovins viande (82,8%), les marais salants (82,1%), les c&eacute;r&eacute;aliers (81,7%), les &eacute;leveurs de bovins&#8208;mixte (81,4%), &nbsp;les &eacute;leveurs ovins (80,2%), les &eacute;leveurs porcins (77,1%), les &eacute;leveurs de volailles (74,3%), les arboriculteurs (73,6%), &nbsp;les viticulteurs (73,5%) etc.</p>


Après une hausse de 1,6% en 2022, le nombre de jeunes installés éligibles aux aides a baissé de 6,8% en 2023 tandis que les installations tardives, hors transfert entre époux, ont progressé de 7,4%, selon la MSA, qui recense 13.621 installations en 2023.

Les nombre d’installations a baissé de 3,6% en 2023, et plus encore chez les jeunes

<p>Docteure en philosophie et dipl&ocirc;m&eacute;e de l&rsquo;&Eacute;cole Normale Sup&eacute;rieure, Gabrielle Halpern consacre ses recherches &agrave; la notion d&rsquo;hybridation, explorant comment le croisement des disciplines et des secteurs permet d&rsquo;innover et de repenser nos mod&egrave;les. Un d&eacute;cloisonnement qu&rsquo;elle estime essentiel pour innover et relever les d&eacute;fis du XXI&#7497; si&egrave;cle. Apr&egrave;s avoir travaill&eacute; au sein de plusieurs cabinets minist&eacute;riels et codirig&eacute; un incubateur de startups, elle accompagne des entreprises et des institutions publiques dans leur r&eacute;flexion sur l&rsquo;&eacute;volution de nos soci&eacute;t&eacute;s.</p><p><strong><em>Un engagement fort pour l&rsquo;agriculture et l&rsquo;alimentation</em></strong><br>En tant que marraine de l&rsquo;&eacute;dition 2025 des JNAgri, Gabrielle Halpern soutient la n&eacute;cessit&eacute; de cr&eacute;er des ponts entre la soci&eacute;t&eacute; et les agriculteurs et d&rsquo;ouvrir le dialogue sur les mutations du secteur, ses enjeux et son avenir.<br>Auteure de plusieurs essais, dont <em>Philosopher et cuisiner : un m&eacute;lange exquis </em>(co&eacute;crit avec Guillaume Gomez, &Eacute;ditions de l&rsquo;Aube, 2022) et plus r&eacute;cemment <em>Cr&eacute;er des ponts entre les mondes &ndash; Une philosophe sur le terrain </em>(Fayard, 2024) Gabrielle Halpern participera &agrave; faire conna&icirc;tre et rayonner les Journ&eacute;es Nationales de l&rsquo;Agriculture qui se tiendront du 6 au 9 juin sur tout le territoire. Pour leur 5&#7497; &eacute;dition, elles proposeront aux citoyens de d&eacute;couvrir le monde agricole et ses m&eacute;tiers, toujours avec une volont&eacute; de partage, au travers de la th&eacute;matique : &laquo; <em>Mieux comprendre l&rsquo;agriculture pour mieux consommer </em>&raquo;.</p><figure  style="text-align: left;">
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    <figcaption>Pour Gabrielle Halpern, &quot;si on veut penser le monde avec justesse, il faut aller dans le monde. Il y a urgence &agrave; recr&eacute;er des ponts entre les mondes, entre l&#039;agriculture et le reste de la soci&eacute;t&eacute;&quot;.</figcaption>
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Gabrielle Halpern, philosophe engagée pour un dialogue entre les secteurs, les disciplines et les savoir-faire, a été choisie comme marraine des Journées Nationales de l’Agriculture 2025.

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