<p>&nbsp;</p><figure  style="text-align: left;">
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    <figcaption>cuma</figcaption>
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<p>Ce printemps, nous avons &eacute;valu&eacute; ces diff&eacute;rences de consommation de carburant et de besoin de puissance lors d'essais de terrain.</p><p><strong>Les 4 outils &agrave; l'essai</strong></p><p>&nbsp;&nbsp;&nbsp; Charrue d&eacute;chaumeuse (Ovlac)<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp; Scalpeur &agrave; pattes d'oie (Kongskilde)<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp; Cultivateur &agrave; b&ecirc;ches auto-anim&eacute;es (Bomford Dynadrive)<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp; Cultivateur rotatif (Kuhn)</p><p><strong>Retrouvez l&rsquo;ensemble des r&eacute;sultats, consommation de carburant, besoin de puissance, les donn&eacute;es &eacute;conomiques dans la plaquette &eacute;dit&eacute;e, <a href="http://www.ouest.cuma.fr/actualites/detruire-sa-prairie-mecaniquement-quel-outil-et-pour-quelle-consommation-de-carburant" target="_blank" title="">&agrave; voir ici</a></strong></p>


Pour détruire une prairie mécaniquement, plusieurs matériels peuvent le réaliser. Si leurs différent travails sont régulièrement présentés lors de démonstrations, leur consommation de carburant et leur besoin de puissance sont rarement abordés.

[Vidéo] détruire sa prairie mécaniquement : quel outil et pour quelle consommation de carburant ?

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Depuis huit ans, le réseau cuma Ouest réalise des essais terrain qui ont pour objectifs de créer des références sur la consommation de carburant et sur les adéquations outil-tracteur.Les essais aux champs de 2017 feront la part belle à l'optimisation des performances de votre tracteur, avant la parution de cette publication de la Frcuma Ouest, courant du mois de février, découvrez la vidéo des essais.


Les essais aux champs

<p>La consommation &eacute;nerg&eacute;tique des fermes fran&ccedil;aises a &eacute;galement un impact environnemental consid&eacute;rable. Elle repr&eacute;sente 30 % des &eacute;missions de gaz &agrave; effet de serre du secteur agricole (et jusqu'&agrave; 60% si on int&egrave;gre les &eacute;missions li&eacute;es &agrave; la fertilisation azot&eacute;e).&nbsp;</p><p>Face &agrave; ces enjeux, r&eacute;duire la consommation &eacute;nerg&eacute;tique des exploitations, qu&rsquo;elle soit directe (carburants, &eacute;lectricit&eacute;) ou indirecte (intrants, alimentation), est devenue une n&eacute;cessit&eacute;. Cela permet de renforcer la rentabilit&eacute; des exploitations, garantir une plus grande souverainet&eacute; &eacute;nerg&eacute;tique et acc&eacute;l&eacute;rer la transition agro&eacute;cologique.</p><h1><strong>Un programme concret pour accompagner les agriculteurs et agricultrices</strong></h1><p><strong>Pour r&eacute;pondre &agrave; ces d&eacute;fis, Fabac&eacute;&eacute; a lanc&eacute; un programme qui permet de financer, former et outiller les structures d&rsquo;accompagnement </strong>(CUMA, coop&eacute;ratives, chambres d&rsquo;agriculture, r&eacute;seau CIVAM, bureaux d&rsquo;&eacute;tudes&hellip;) pour qu&rsquo;elles puissent accompagner leurs groupes d&rsquo;agriculteurs vers des pratiques plus &eacute;conomes en &eacute;nergie et en intrants. Apr&egrave;s un premier appel &agrave; candidatures qui a permis d&rsquo;int&eacute;grer au programme 24 structures d&rsquo;accompagnement (voir ci-dessous), un deuxi&egrave;me appel &agrave; candidatures vient d&rsquo;&ecirc;tre lanc&eacute; pour permettre &agrave; d&rsquo;autres organismes d&rsquo;en b&eacute;n&eacute;ficier et d&rsquo;aider leurs groupes d&rsquo;agriculteurs et agricultrices &agrave; r&eacute;duire leurs consommations d&rsquo;&eacute;nergie !</p><aside class="factbox">
    <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
    <p>Fabac&eacute;&eacute; s&#039;adresse aux structures d&#039;accompagnement et permet &agrave; leurs adh&eacute;rents de se mettre en action de mani&egrave;re collective pour atteindre un objectif de r&eacute;duction de leurs consommations &eacute;nerg&eacute;tiques de 15% d&rsquo;ici 2027.</p>
</aside>
<h2><strong>Comment &ccedil;a marche ?</strong></h2><p>Dot&eacute; d&rsquo;un budget de <strong>17 millions d&rsquo;euros sur trois ans</strong>, le programme Fabac&eacute;&eacute; propose :</p><ul><li><strong>Un financement &agrave; 100 % des postes d&rsquo;animateurs</strong> pour accompagner les groupes d&rsquo;agriculteurs et agricultrices</li><li><strong>Jusqu&rsquo;&agrave; 13 600 &euro; d&rsquo;aide &agrave; l&rsquo;investissement par groupe d'agriculteurs</strong> pour l&rsquo;achat de petit mat&eacute;riel, d&rsquo;analyses et d&rsquo;&eacute;tudes.</li><li><strong>Des outils et formations d&eacute;di&eacute;s</strong> : diagnostics &eacute;nerg&eacute;tiques, suivi des actions, plateforme de ressources&hellip;</li><li><strong>Des solutions de financement innovantes</strong>, comme un fonds de garantie et une assurance transition pour s&eacute;curiser l&rsquo;&eacute;volution des pratiques agricoles.</li></ul><p>Pour le moment, le programme est d&eacute;ploy&eacute; sur <strong>5 r&eacute;gions</strong> (Bretagne, Normandie, Pays de la Loire, Occitanie et PACA) mais d&rsquo;autres r&eacute;gions seront bient&ocirc;t ouvertes.</p><h1><strong>Un premier appel &agrave; projet r&eacute;ussi&nbsp;</strong></h1><p>Depuis son lancement fin 2024, 24 structures ont rejoint Fabac&eacute;&eacute;. Parmi elles, on retrouve des acteurs comme BIOLAIT, les Jeunes Agriculteurs de PACA, le r&eacute;seau CIVAM, la coop&eacute;rative EUREDEN, plusieurs CUMA, la Chambre d&rsquo;Agriculture de la Haute-Garonne et la F&eacute;d&eacute;ration R&eacute;gionale des Agriculteurs Bio de Bretagne. Cela repr&eacute;sente pour le moment plus de 1000 exploitations agricoles int&eacute;gr&eacute;es au programme. Tous les secteurs sont concern&eacute;s : mixte &eacute;levage / c&eacute;r&eacute;ales, bovin lait, viticulture, c&eacute;r&eacute;ales / ol&eacute;oprot&eacute;agineuses, mara&icirc;chage&hellip;</p><h2><strong>Ils et elles t&eacute;moignent</strong></h2><p><em>&ldquo;Aujourd&rsquo;hui, en tant qu&rsquo;agriculteur, l&rsquo;&eacute;nergie repr&eacute;sente une part importante de mes charges. Ma&icirc;triser son co&ucirc;t, c&rsquo;est garantir la rentabilit&eacute; de mon exploitation et s&eacute;curiser mon revenu. Avec les crises successives du Covid et de la guerre en Ukraine, nous avons subi une augmentation cons&eacute;quente de nos charges et nous avons m&ecirc;me craint la rupture d'approvisionnement qui aurait pu entra&icirc;ner la perte des r&eacute;coltes stock&eacute;es. Le programme Fabac&eacute;&eacute; est une vraie opportunit&eacute; pour nous rendre plus r&eacute;silients au niveau &eacute;nerg&eacute;tique et &eacute;conomique. Il nous aide &agrave; structurer des d&eacute;marches que nous avions d&eacute;j&agrave; identifi&eacute;es mais qui restaient compliqu&eacute;es &agrave; mettre en place. Fabac&eacute;&eacute; nous apporte des solutions concr&egrave;tes pour y parvenir.&rdquo;</em></p><p><strong>J&eacute;r&eacute;my Lieutier, pr&eacute;sident des Jeunes Agriculteurs de PACA, laur&eacute;at du programme Fabac&eacute;&eacute;</strong></p><p><em>&ldquo;Chez les producteurs laitiers, l&rsquo;&eacute;nergie est un enjeu cl&eacute;. Nos tanks &agrave; lait, chauffe-eaux et blocs traite repr&eacute;sentent plus de 80 % de notre consommation &eacute;lectrique. Depuis 2023, en travaillant sur notre bilan carbone, nous avons r&eacute;duit nos &eacute;missions de 19 % par litre de lait et de 50 % par hectare, mais notre consommation d&rsquo;&eacute;lectricit&eacute; reste probl&eacute;matique car trop &eacute;lev&eacute;e.&nbsp;L&rsquo;appel &agrave; projets Fabac&eacute;&eacute; est tomb&eacute; &agrave; point nomm&eacute;. Dans un contexte difficile pour la fili&egrave;re bio, ce programme nous apporte un cadre, un financement et un accompagnement collectif pour r&eacute;duire nos co&ucirc;ts et notre impact &eacute;nerg&eacute;tique.&rdquo;</em></p><p><strong>Maud Cloarec, vice-pr&eacute;sidente de Biolait, laur&eacute;ate du programme Fabac&eacute;&eacute;</strong></p><aside class="factbox">
    <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
    <p>Pour le moment, l&rsquo;ensemble des exploitations accompagn&eacute;es repr&eacute;sente 82 groupes r&eacute;unissant plus de 1 000 exploitations agricoles pour une surface totale de plus de 50 000 hectares. Le programme ambitionne d&rsquo;accompagner, &agrave; terme, entre 2 500 et 3 500 agriculteurs d&rsquo;ici 2027.</p>
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<h1><strong>Candidatez avant le 25 avril !</strong></h1><p>Vous &ecirc;tes une structure qui accompagne des groupes d&rsquo;agriculteurs (CUMA, CIVAM, Chambre d&rsquo;Agriculture, GAB, Coop&eacute;rative, bureaux d&rsquo;&eacute;tudes&hellip;) ? Vous &ecirc;tes agriculteur et souhaitez impliquer votre groupe dans une d&eacute;marche d&rsquo;&eacute;conomie d&rsquo;&eacute;nergie ?</p><p>D&eacute;posez votre candidature sur le site Fabac&eacute;&eacute; :<a href="https://www.fabacee.fr/candidature"> https://www.fabacee.fr/candidature</a><br><strong>Le deuxi&egrave;me appel &agrave; candidatures est ouvert jusqu&rsquo;au 25 avril 2025.</strong></p><h2><strong>Besoin d&rsquo;informations ?</strong></h2><ul><li>Visionnez le replay du webinaire du 11 mars et d&eacute;couvrez comment b&eacute;n&eacute;ficier du programme :<a href="https://www.fabacee.fr/inscription/webinaire"> https://www.fabacee.fr/inscription/webinaire</a></li><li>Contactez l&rsquo;&eacute;quipe Fabac&eacute;&eacute; : contact@fabac&eacute;&eacute;.fr</li><li>Site internet&nbsp;:&nbsp;<a href="https://www.fabacee.fr/" target="_blank" title="Site internet de Fabac&eacute;&eacute;">https://www.fabacee.fr</a></li><li>R&eacute;seaux sociaux :&nbsp;<a href="https://www.linkedin.com/company/fabacee/" target="_blank" title="Page Linkedin">Page Linkedin</a></li></ul><aside class="factbox">
    <h2>BON &Agrave; SAVOIR</h2>
    <p>Fabac&eacute;&eacute; est le premier programme inscrit dans le cadre des certificats d&rsquo;&eacute;conomie d&rsquo;&eacute;nergie financ&eacute; dans le secteur de l&rsquo;agriculture. Il est port&eacute; par la soci&eacute;t&eacute; &agrave; mission Feve avec Solagro et l&rsquo;AREC Occitanie, en partenariat avec l&rsquo;association AILE, le r&eacute;seau IRAEE, la F&eacute;d&eacute;ration Nationale des CUMA et ACTEE.</p>
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Aujourd’hui, entre 7 et 20 % des dépenses annuelles d’une exploitation sont consacrées à l’énergie, majoritairement issue du pétrole. Par ailleurs, plus de 80 % des engrais utilisés en France sont importés, renforçant une double dépendance : aux pays tiers et aux énergies fossiles.