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[DOSSIER] Egalim à la cantine : les bouchées doubles, les enjeux triples
La restauration collective assure en moyenne 10% des consommations alimentaires et apports nutritionnels des adultes et 15 à 20% des enfants et adolescents. Un puissant levier pour améliorer la nutrition du plus grand nombre, renforcé par Egalim et l’obligation d’intégrer 50% de produits bio, durables et de qualité. Un enjeu de santé publique et de justice sociale donc, mais aussi de transition agroécologique.
Dans les cantines aussi, les produits bio et durables à la diète
Les taux d’approvisionnement sont respectivement de 12,1% et 25,3% contre 13,1% et 27,5% un an plus tôt. La faute à un biais déclaratif mais qui bafoue à satiété la loi Egalim. Dans « l’intérêt général », la ministre de l’Agriculture invite les acteurs de la restauration collective à se mobiliser « collectivement ». Lire l’article.
Le menu végétarien à la cantine, une expérience sans lendemain ?
Un rapport du CGAAER et de l’IGEDD pointe les contraintes matérielles, humaines, et in fine financières, liées à l’instauration d’une option végétarienne en restauration collective, confinant à l’indigestion réglementaire, mais non sans livrer quelques recettes pour lever les freins. Lire l’article.
Enquête AMF : 1 commune sur 5 respecte la loi, 2 sur 3 invoquent le surcoût
Selon une enquête réalisée par l’Association des maires de France (AMF), 18% des communes assurant un service de restauration scolaire respectent le double seuil de 50% de produits durables et 20% de produits bio, même si la bio, isolément, s’en sort mieux avec 37% de communes en conformité. Tout comme le menu végétarien, adopté à 90%. Lire l’article.
Egalim : 7 clés pour réussir l’approvisionnement local des cantines scolaires
À l’échelle des collectivités locales, la restauration scolaire représente plusieurs millions d’euros de débouchés pour les exploitations du secteur. Si la loi Egalim a impulsé une dynamique dans ce sens, encore faut-il réussir à mettre en œuvre ce type de partenariat en circuit court. En Loire-Atlantique, plusieurs expériences réussies ou en cours de construction permettent d’identifier les points clés pour réussir la transition vers l’approvisionnement local. Lire l’article.
Réévaluer le prix du repas à la cantine, le véritable défi d’Egalim
En organisant une « conférence des solutions », le ministère de l’Agriculture entend faire de la montée en gamme en restauration collective, inscrite dans la loi, une réalité. Au-delà des chicaneries d’ordre administratif ou réglementaire, le véritable défi réside dans le prix auquel nos compatriotes, par l’entremise des restaurants de l’Etat, des collectivités et des entreprises, sont prêts à consentir pour une assiette mieux-disante. Lire l’article.
Egalim : ces cantines qui renforcent le lien avec les agriculteurs locaux
Plusieurs collectivités en Loire-Atlantique ont noué des liens commerciaux avec les agriculteurs. Faisant encore figures d'exception, ces cantines proposent une nourriture durable, qualitative et locale. Lire l’article.
Montée en gamme : l’ensemble de la restauration collective concernée
Depuis le 1er janvier 2024, les menus servis par les restaurants collectifs du secteur privé doivent comprendre au moins 50% de produits durables et de qualité dont 20% de produits bio, obligation qui incombe aux restaurants collectifs sous gestion publique depuis le 1er janvier 2022. Pour les viandes et poissons, le taux est de 60% en restauration privée et 100% en restauration publique. Lire l’article.
45% de bio dans les cantines des collèges de la Drôme : qui dit mieux ?
Le Conseil départemental vise les 50% à horizon 2028, sans pressuriser les producteurs, sans faire flamber le prix du ticket de cantine, mais au prix d’un choix politique affirmé haut et fort, assorti d’une lutte contre le gaspillage. Lire l’article.
Bio : les quatre chiffres critiques du baromètre de la consommation et de la perception
Le 21ème baromètre de l’Agence bio pointe une dégradation de l’image prix, un recul des préoccupations santé et environnement, le reflux de la pratique de la cuisine et des doutes persistants la véracité du bio. Lire l’article.
La bio à la conquête de la restauration collective et commerciale
L’Agence bio lance une campagne de communication destinée à inciter les professionnels de la restauration commerciale et collective à mettre davantage de bio au menu, dont les taux d’approvisionnement plafonnent respectivement à 7% et 1%. Lire l’article.